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Aucune image ne résumera aussi bien ce PSG-Anderlecht que celle de Zlatan bousculé par un Kouyaté des grands jours.

Ce mardi soir Paris avait rendez vous avec son histoire. Avec un de ces matchs qui déterminent qui est, ou non, un grand club. Pourtant par suffisance ou juste excès de confiance le club de la capitale à perdu l'occasion de briller une nouvelle fois sur la scène européenne.

Cette rencontre avait tout de la débacle assuré pour le club Bruxellois. La presse belge ne donnait pas l'ombre d'une chance à son unique représentant dans la reine des compétitions.
Laurent Blanc l'avait rappelé, la qualification pour le prochain tour était l'objectif prioritaire. John Van Den Brom et ses hommes en ont décidés autrement.

La tactique des belges était pourtant simple et évidente.
D'une part, une défense à 6, permettant aux latéraux de sortir sur ceux du PSG (Van Der Wiel et Maxwell) sans être pris dans des dédoublements avec les ailliers. Mais également une charnière centrale menée par un Cheikhou Kouyaté impériale face à Zlatan Ibrahimovic durant l'ensemble de la rencontre. Toujours à la limite de la faute, l'international sénégalais à accomplis le match parfait.

D'autre part, un pressing à 3 sur la défense Parisienne afin de géner les tentatives de relance. Un Mitrovic acharné. Voilà ce qu'on retiendra de l'attaque des mauves aux parc des princes. Multipliant les coups bas et les provocations. Il a répondu présent. Mettre la pression, voilà probablement ses consignes.

En face, malgré son évidente suppériorité technique, Paris n'a jamais réussi à prendre le dessus. En dépit d'un milieu entièrement vide et d'un manque d'aisance technique à la relance coté belge, les hommes de Laurant Blanc n'ont a aucun moment exploités ces failles.

Le but Belges venait logiquement sanctionner les faiblesses et le manque d'envie des Français. Et cela en dépit de l'entré de Thiago Silva, qui était peut-être la solution à la relance pour Laurent Blanc.

Sans son héros Zlatan Ibrahimovic venu égaliser 2 minutes plus tard, le PSG aurait pu subir l'une des plus grosses déconvenue de sa saison tant les 3 points lui semblaient acquis au coup d'envoi. L'absence de Cavani, permettant à la défense d'Anderlecht de se focaliser sur Ibrahimovic a également joué. Habituellement l'urugayen et le suédois permuttent règulièrement afin de perturber les défenses. Ce mardi soir le manque d'inspiration de Lavezzi et de Lucas pourtant bien en jambe se seront cruellement fait sentir.

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